NAKHR

Genres : Hybrid Acid, Techno Industrielle, Mental, Dystopic Sound Design
Origine : Montpellier, France
Labels : Arbra Records, Nemesis Rec
Booking : azack.musique@gmail.com / Instagram @nakhr_techno


Qui est NAKHR ?

Entre hallucination cybernétique et cauchemar industriel, NAKHR compose une techno qui broie les certitudes et ouvre des portes sur d’autres mondes. Basé à Montpellier, il produit une musique brute, viscérale, à la croisée de l’acid hybride et de la techno dystopique.

Live performeur et producteur solitaire, il conçoit ses morceaux comme des rituels sonores, bâtis sur des nappes sombres, des rythmes mécaniques et des textures abrasives. Il n’y a pas d’échappatoire dans les paysages de NAKHR — seulement un abandon nécessaire à la transe.


Parcours et affiliations

NAKHR s’est construit dans les marges de la scène industrielle, en forgeant une signature sonore personnelle, identifiable par son goût du chaos maîtrisé et du design sonore acéré. Il est aujourd’hui affilié à plusieurs labels exigeants de la scène underground comme Arbra Records, Nemesis Rec, qui partagent une même vision radicale et non commerciale de la musique électronique.

Côté outils, il compose avec Ableton 12, FL Studio et VCV Rack 2, donnant naissance à des structures complexes, souvent modulaires, toujours percutantes.


Discographie sélective

Quelques morceaux qui incarnent l’essence sombre et expérimentale de NAKHR :

  • Endcycle Ceremony – Rituels industriels et incantations bruitistes sur fond de basse saturée.

  • Perpetual Tension – Une montée lente et étouffante, où le son devient matière.

  • Mystic Area – Voyage mental dans une zone interdite, porté par un mix dense et spectral.

  • Analog Mecanics – Hommage au hardware, aux textures sales et aux automatismes en roue libre.

  • Call of the Rock – Techno tribale et martiale, canal de communication avec un monde oublié.

  • Machine en Marche – Le bruit des rouages et des erreurs humaines. Une techno de l’après-choc.


Sur scène

En live, NAKHR déploie une intensité brute. Il performe à travers des livesets sculptés sur mesure, à la frontière entre concert industriel et cérémonie rituelle. Ce n’est pas une fête, c’est une plongée — une confrontation avec l’invisible, avec la matière sonore à l’état pur.

Son objectif n’est pas d’être accessible, mais authentique, organique, profond. Il parle aux esprits qui errent entre les machines, aux corps qui cherchent à se libérer dans la dissonance.


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